
Synopsis:
Dévoré d’ambition
Poussé par la compétition
Il va découvrir que la soif de pouvoir a un prix
C’est le matin de la Moisson qui doit ouvrir la dixième édition annuelle des Hunger Games. Au Capitole, Coriolanus Snow, dix-huit ans, se prépare à devenir pour la première fois mentor aux Jeux. L’avenir de la maison Snow, qui a connu des jours meilleurs, est désormais suspendu aux maigres chances de Coriolanus. Il devra faire preuve de charme, d’astuce et d’inventivité pour faire gagner sa candidate.
Mais le sort s’acharne. Honte suprême, on lui a confié le plus misérable des tributs : une fille du district Douze. Leurs destins sont désormais liés. Chaque décision peut les conduire à la réussite ou à l’échec, au triomphe ou à la ruine.
Dans l’arène, ce sera un combat à mort.
Pour assouvir son ambition, Coriolanus parviendra-t-il à réprimer l’affection grandissante qu’il ressent pour sa candidate, condamnée d’avance?
Ce que j’ai ressenti:
Et accompagné d’un air empreint de drame et de mélancolie, avec l’aide complice des geais moqueurs, je vous chanterai avec le souvenir déchirant, une ballade pour ne pas oublier mon excursion dans les Hunger Games, et j’aurai en mes mains, le Cœur de Panem et l’espoir de faire battre le vôtre…
🎼En route pour l’Arène
Collins a pris de l’avance sur la peine
À chercher le vainqueur des Jeux
On pourrait se demander
Où s’en va l’humanité…
Je les rejoindrai dans l’heure condamnée
Mais avant de m’en aller
J’ai des choses à te confier
Ici, près de la neige immaculée
Je partirai avec la Moisson de cette année
Bien avant le dernier couplet
Quand j’aurai fermé le livre, tant aimé,
Posé mes mots dessus, exprimé,
Quand j’aurai tout dit, tout soldé
De mes émotions et des regrets
En 23 raisons et confiance échappée
Ici, près de la neige immaculée
Où Coriolanus et Lucy s’épancheraient…
Je les rattraperai, promis!
Après un couplet chanté
En compagnie des Coveys
Avant que ne se jette le serpent
Avant que ne parte l’oiseau chanteur
Avant que ne finisse la ballade
Ici, près de la neige immaculée
Où Coriolanus et Lucy se retiendraient…
Je les retrouverai
Et on ira danser
Et quand nos corps fatigués
Décideront de se reposer
Après les Hunger Games terminés
J’attendrai la gagnante du district
Je resterai suspendue à ses lèvres
Lucy…la rebelle Lucy Gray…
Et Vous ne pourriez rien m’enlever
Ici, près de la neige immaculée
Je serai certaine et apaisée
Je ne possède rien de rien mais
J’aurai enfin aimé cette vérité
Que la neige se pose toujours au sommet…🎼
.
Repartir pour cet univers des années après, c’était un risque…Et si je ne retrouvais pas la sensation, le frisson de la première fois? Et si, et si…Mais tout cela, bien évidemment s’en est allé, une fois, que j’ai compris qu’on allait revenir en arrière avant la fameuse trilogie, sur les traces d’un personnage pour le moins énigmatique, Coriolanus Snow. Et le chant m’a encore envoûté, les geais moqueurs ont encore ce pouvoir sur moi…Cette puissance rebelle qui veille en nous et qui se réveille quand l’injustice des Hunger Games frappe…Ce n’est plus avec Katniss Everdeen que l’on va s’échauffer, mais avec le feu intérieur de Lucy Gray…Elle aussi, vient du District 12…Elle aussi, a un fort potentiel…Et son Mentor compte bien faire de sa protégée, une gagnante et prendre sa revanche sur le Capitole. À n’importe quel prix. À n’importe quel sacrifice…
Avec moins de faste mais toujours autant de violence, on se retrouve dans une Arène décrépite, alambiquée, branlante…A peine, un terrain vague, où se démènent quelques gamins trop faibles…Les intentions de grandioses et d’intérêts médiatiques sont alors soumises à des jeunes étudiants pleins d’ambitions qui ne reculeront devant rien pour arriver au sommet…Ils veulent crever l’écran…Les idées fusent, la violence prend l’espace…C’est le prequel à la trilogie, les coulisses d’un succès prochain, les débuts balbutiants d’un jeu dangereux…
600 pages de feux et d’actions, de musiques et de morsures de serpents, de bruits sourds et de nouveaux geais, de rébellion et de d’amour, de trahisons et d’amitiés…C’est tout le programme de cette lecture, et c’est encore aussi addictif qu’il y a 10 ans! Cette saga est fascinante. Vive les Hunger Games!

Juil 28, 2020 @ 14:02:23
Merci pour cet article, j’ai adoré ce préquel alors que j’avais les mêmes appréhensions que toi. Je suis tout à fait d’accord, on retrouve vraiment l’esprit d’il y a dix ans !
Juil 28, 2020 @ 15:12:42
C’était vraiment sympa de retrouver l’Arene! 😉
Juil 28, 2020 @ 07:33:58
Génial que le plaisir soit retrouvé tant d’années après! Merci de me rassurer 🙂
Juil 28, 2020 @ 15:14:34
C’était plus que bien! Et puis retourner dans cet univers ça a quelque chose de nostalgique et de magique aussi✨
Juil 23, 2020 @ 19:16:46
Jolie chronique, ma louloutte ! Je voudrais le lire aussi, même si je n’ai jamais lu les Hunger games, ni vu les films… (ou si peu).
Tiens, Coriolanus, ça ressemble à Corona-virus…
Juil 23, 2020 @ 20:22:00
C’est une saga qui est à découvrir! Je sais que tu en as plein sur le feu🔥 M’enfin, Hunger Games c’est incontournable! ❤️
Juil 23, 2020 @ 20:52:53
Justement, trop incontournable alors je contourne ! L’esprit de contradiction que je suis, ce soir ! 😆